Catalogue 2019

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  • 039 Alexis BOUVARD (1767-1843) astronome

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  • L.A.S. et L.S., Paris 1824-1829, à Augustin d’Hombres-Firmas, à Alais (Gard) ; 5 pages in-4, adresses (petit trou par bris de cachet). 8 décembre 1824. Il ne peut encore répondre à sa question concernant la longueur de la colonne du baromètre de l’Observatoire, puisqu’ils n’ont pas encore déterminé la partie due à la capillarité de l’instrument : « nous avons fait exécuter par Fortin, un Baromêtre à siphon, afin d’avoir la hauteur absolue du mercure. Ce Baromêtre fait avec un soin extrême, n’a pas répondu à nos espérences. Le mercure trop purifié et trop desseché a présenté une difficulté remarquable ; les deux colonnes du mercure au lieu d’être convexes étaient concaves »… Son confrère Arago s’occupe de faire des observations et de comparer le baromètre à siphon, à l’ancien baromètre… 28 septembre 1829. Chargé par l’Académie de rendre compte, conjointement avec M. Savart, de son mémoire, il signale d’emblée « une faute grave » dans les variations diurnes du baromètre, puis évoque son voyage récent en Suisse, pour faire une communication de météorologie à la Société helvétique. Depuis, les « instrumens ont été changés au St Bernard et remplacés par d’excellens faits à Genève. Les observations y seront faites quatre fois par jour ; et aussitôt que l’hospice du Simplon sera établi, on fera également les mêmes observations aux mêmes heures, ainsi qu’à Genève à compter du 1er janvier 1830 »… Il fait encore quelques suggestions pour améliorer sa notation des variations diurnes du baromètre, se référant aux travaux du « savant physicien » Ramond

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